Multiples expositions avec du Guillaume Constantin dedans. Les détails sont à la fin. je vais toutefois m'attarder sur l'exposition au Château d'Oiron pour laquelle il faut réserver une navette. Le coup de la navette, moi je serai pas contre, s'il n'y avait pas eu ce précédent avec Catherine Bertin. Quand il y a quelques années j'allais en excursion avec l'école, je me retrouvais toujours dans le car à coté de Catherine Bertin. Et Catherine Bertin, à l'époque, elle était amoureuse de James West dans les mystères de l'ouest. A chaque fois c'était pareil, pendant tout l'aller elle me montrait son, cahier avec les images de James West dedans (des images découpées dans Télé Poche), et au retour, comme elle avait mal au coeur à force de lire dans le car (il faut pas lire dans le car, même si on est placé devant, où, comme chacun le sait, on est moins malade), malade, donc, elle vomissait son quatre heure. Alors je sais pas si Catherine Bertin sera dans le car pour aller au Château d'Oiron, j'imagine que même si elle y est, elle n'est plus amoureuse de James West, mais, tout de même je veux pas prendre le risque. A moins que quelqu'un ait accès à l'agenda de Catherine Bertin et me dise - Ah ben non, elle pourra pas être dans le car ce jour là, elle sera à la manif pour le retour de julien Lepers dans l'émission Question pour un champion Et bien à moins que ça, je crois que je ne vais pas pouvoir aller au Château d'Oiron . Nan, je prend pas le risque. Allez, Guillaume, à toi : Bonjour à toutes et à tous, Voici à suivre les rendez-vous en mars : deux expositions collectives, à Paris à l'invitation de la revue Point Contemporain, au Château d'Oiron (à côté de Thouars dans l'ouest) sous le commissariat de Marie Cantos et Maryline Robalo, PA I Plateforme de création contemporaine à l'invitation de Carine Guimbard, directrice. A la fin du mois, ouvriront conjointement dans la vitrine extérieure du Musée du Vieux Nîmes l'exposition des étudiants de l'Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Nîmes « Il restera plein d'inconnus" réalisée suite à un workshop mené début 2017 et également la présentation d'une proposition inédite de ma part dans le musée pour le Papillon, un dispositif d'exposition nomade conçu par Arnaud Vasseux (artiste et enseignant) avec Aude Halbert (étudiante en second cycle) comme un projet pédagogique de l'Atelier Recherche et Création (ARC) 'Exposition' de l'ESBAN. Toutes les informations à suivre, A très bientôt ! g/ ++++++++++++++++++++
Architextures de paysage 
Commissariat PA I Plateforme de création contemporaine : Marie Cantos et Maryline Robalo
Vernissage le 25 mars (ap.midi) < navette de Paris sur réservation < DP disponible en pièce jointe
Performance d'Edith Commissaire le 06 avril 2016
Château d'Oiron, centre des monuments nationaux 10, rue du château
79100 Oiron ++++++++++++++++++++ Il restera plein d'inconnus avec Enguerrand David, Lucie Tournayre, Inès Assoual, Ronan Marret, Léo Schweiger et Aude Halbert  Vernissage le jeudi 30 mars 2017 à partir de 18h devant la vitrine du Musée du Vieux Exposition visible jusqu'au 14 mai 2017 Tous les jours dans la vitrine rue du Chapitre, 30000 Nîmes "Il restera plein d'inconnus" propose une réflexion sur l'exposition à partir de quelques objets de la collection du musée. Ce projet s'inscrit dans un partenariat avec l'école supérieure des beaux-arts de Nîmes. Cette exposition qui réunit des étudiants de second cycle a été coordonnée par l'artiste Guillaume Constantin invité dans le cadre d'un projet initié par l'Atelier de Recherche et Création « Pratiques de l'exposition ». Chaque étudiant a réagi en proposant une interprétation qui déplace la perception commune associée aux objets anciens que le musée se donne pour mission de conserver.
Le partenariat entre les deux institutions voisines s'inscrit dans l'histoire même du bâtiment devenu en 1910 Palais des Beaux Arts pluridisciplinaire pour accueillir à la fois le Conservatoire de Musique, l'Ecole des Beaux Arts, puis le Musée du Vieux Nîmes.
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Une autre théorie des signatures
Guillaume Constantin
Vernissage le jeudi 30 mars 2017 à partir de 18h
Exposition visible jusqu'au 16 mai 2017
Musée du Vieux Nîmes, Place aux Herbes, 30000 Nîmes, ouvert du mardi au Dimanche de 10h à 18h
A partir de la "Théorie des signatures", élément important de la médecine médiévale et méthode empirique conçue par Paracelse au XVIème siècle postulant que la forme et l'aspect des plantes sont à rapprocher de leurs propriétés thérapeutiques, Guillaume Constantin en propose une version actualisée pour le Papillon.
En continuant le jeu d'analogie formelle propre à cette méthode par le biais d'objets et de documents prélevés dans le Musée du Vieux-Nîmes ainsi que d'autres plus personnels, l'artiste met en place une nouvelle et anachronique stratification de matériaux et de formes qui prolongent alors certains des dialogues déjà présents au musée et en augurent d'autres inédits.
Le Papillon est une petite surface d'exposition nomade conçue comme un projet pédagogique.
En tant qu'espace d'exposition, il interroge les formes de l'exposition et les contextes dans lequel il est situé. Ses dimensions modestes, sa matérialité, sa légèreté, son principe d'économie incitent à envisager l'exposition autrement. Les présentations publiques du Papillon sont ponctuelles et éphémères. Le Papillon peut être investi par un/e étudiant/e, par un/e artiste invité/e, par un/e commissaire invité/e. Les lieux de présentation peuvent variés en fonction du contenu de l'exposition et des intervenants.
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