Bon, on revient en douceur, j'espère que je ne vous ai pas trop manqué, et que rien de fâcheux n'est arrivé autour de vous.
De mon coté je suis un peu déconnecté des choses, la réalité, l'actualité tout ça, ah ça fait du bien !
J'ai en effet passé deux petites semaines dans un club de remise en forme en Syrie, je me suis fait plein de potes, je reviens avec un moral d'acier, à tout péter !
Bon, en attendant, on reprend le taf, ce weekend Guillaume Constantin participe à une collective Vendrediau Huit à Paris à coté de Répu, ça s'appelle J'AI PRIS UNE PIERRE POUR VOIR LE MONDE.
Oui, Guillaume, c'est encore une fois toi qui hérite de l'annonce foireuse, mais si t'en faisait moins aussi, les statistiques ne joueraient pas contre toi ainsi !
Je te laisse la parole :
Bonjour à toutes et à tous,
Prochain rendez-vous à partir de vendredi prochain à Paris au Huit, 8 boulevard Saint-Martin ( République)
pour une exposition collective où je présenterai une pièce inédite.
Pour les Tourangeaux ou ceux qui seraient de passage à Tours le 26 janvier à 18H30, je ferais une présentation de mon travail
à l'Ecole Supérieure d'art de Tours à l'invitation de Sandra Delacourt et en prélude à un workshop à l'Atelier Calder
à Saché. Détails à suivre.
Meilleurs vœux et plus pour cette nouvelle année !
guillaume
INVITATION AU VERNISSAGE
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J'AI PRIS UNE PIERRE POUR VOIR LE MONDE Ismaïl Bahri, Gilles Balmet, Andrea Caretto & Raffaella Spagna, Charlotte Charbonnel, Guillaume Constantin, Paul-Armand Gette, Anthea Lubat, Bettina Samson, Evariste Richer, Edouard Wolton.
23 janvier - 1 février 2015
Vernissage le vendredi 23 janvier à partir de 18h
Le Huit
8 boulevard Saint-Martin 75010 Paris
Métro Strasbourg Saint-Denis / République
À PROPOS DE L'EXPOSITION
Dans une interview donnée en 1974 pour l'émission Variance, Roger Caillois évoque le pouvoir de fascination qu'ont toujours exercées les pierres sur l'homme. Placée dans les cabinets de curiosité ou érigée en véritable tableau, la pierre joue un rôle de stimuli de l'imagination. Elle est simulacre lorsque son observateur se plait à identifier des figures ou paysages et se fait objet de projection quand elle suscite à sa seule contemplation, l'expérience d'un retour aux origines. Conçue au fil des millénaires, dans l'épaisseur souterraine, elle serait l'évocation silencieuse d'un éternel et insaisissable théâtre. Celui des phénomènes naturels qui ne se donnerait à voir qu'à travers son enfantement.
Cette conception du minéral comme archive naturelle et lieu propice à l'imaginaire devient le point de gravité de démarches artistiques associant investigations du monde et échappées rêveuses. Qu'il s'agisse de pratiques d'observation et de restitution de faits ou de phénomènes naturels, de jeux sur la matière et ses moyens de captation, les artistes de l'exposition invitent à explorer les potentialités poétiques de ces formes immémoriales logées dans la nature.
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CONFÉRENCES
Jeudi 29 janvier 2015 à 18h30
Deux conférences menées durant l'exposition seront l'occasion d'approfondir la correspondance entre science et imaginaire. Jean-François Gazin et Jean-Pierre Roucan, membres de la commission de minéralogie de La Saga, mettront en lien l'agate et l'œuvre de Roger Caillois. Dominique Rossier abordera lors d'une deuxième conférence, la lecture du temps inscrite dans la pierre par la présentation de microphotographies.
L'agate : une pierre pour voir le monde – Conférence de Jean-François Gazin et Jean-Pierre Roucan Feu de la terre, temps de la terre - Conférence de Dominique Rossier
