Ben oui, Sandrine Elberg envoie l'invitation pour son vernissage le mercredi pour le vendredi.
Moi mercredi soir j'avais entrainement de peinture, ce matin je bosse, cet après midi je dois aller... je suis pas sûr que ça vous intéresse ou je dois aller cet après midi, et ce soir je pars en colo dans un bled ou le maire fut autrefois président du fan club d'Annie Cordy (je résume rapide j'ai pas le temps de faire dans la fioritude).
Bon Ok je vous dis ce que' je fais cet après midi : j'ai rendez vous avec mon auditeur pour choisir la couleur de mon électropsychomètre. Faudra pas le répéter...
Alors bistro comme on dit chez les russes :

L'artiste doit connaître les moyens de convaincre les autres, de la véracité de ses mensonges »
Pablo Picasso (Propos sur l'art).
« Je suis Russe, moi aussi ».
Sandrine Elberg crée une histoire à partir de sa quête identitaire autour de la Russie.L'artiste erre dans les terres Russes à la recherche d'une identité perdue ou oubliée.Elle suit les traces de son arrière grand-père patern el qui quitta la ville d'Odessaà l'époque du Cuirassé Potemkine.
Pour s'impliquer dans cette aventure, l'artiste fabrique tout un scénario en pénétrant dans l'intimité des femmes célibataires Moscovites
Pour s'impliquer dans cette aventure, l'artiste fabrique tout un scénario en pénétrant dans l'intimité des femmes célibataires Moscovites
À la fois spectatrice et actrice, Sandrine Elberg imprime les portraits de ces femmes seulesou son autoportrait en se photographiant avec elles.En sachant que ces photographies ont un but artistique, ces femmes soignent leurs imagespour la postérité, en se déguisant comme les stars des magazines contemporains de la mode.
Elles ont pris conscience que « Ars Longa - Vita Brevis », l'art est long - la vie est brève.Leur postérité met aussi en scène l'immortalité de l'artiste photographe qui joue le jeu des ressemblances en suivant l'attitude d'imitation.
L'artiste essaie de réajuster ses images d'une réalité apparente avec une perception mentale
Elles ont pris conscience que « Ars Longa - Vita Brevis », l'art est long - la vie est brève.Leur postérité met aussi en scène l'immortalité de l'artiste photographe qui joue le jeu des ressemblances en suivant l'attitude d'imitation.
L'artiste essaie de réajuster ses images d'une réalité apparente avec une perception mentale
GALERIE POPY ARVANI
7, rue Jean-Pierre Timbaud
75011 PARIS
Tél. : 33 1 47 00 87 51
www.galeriepopyarvani.com
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