Alors je vous avais déjà parlé de ma passion pour le téléfilm érotique de la 6, (à une époque ou je regardais la télévision), j'avais alors amorcé un rapprochement entre les films d'Eric Rohmer et les films érotiques, à l'époque (à l'époque où j'avais fait l'annonce, pas à l'époque où je regardais la télé), il était vivant, on avait le droit de dire que un film d'Eric Rohmer c'est comme un film de cul, mais sans les scènes de.
Maintenant qu'il est mort, on a plus le droit, et je me garderai bien de le dire.
Faisons maintenant le distinguo. Ce dont nos allons parler aujourd'hui, et voir demain, c'est de films pornographiques, qui se distinguent des films érotique par le fait que les choses ne sont pas simulées. Les films érotiques, c'est de la fausse.
HPG puisque nous allons parler de lui fait donc des films pornographiques, c'est pas du chiqué.
HPG laisse tourner une caméra en plan fixe pendant ses tournages.
Raphaël Siboni a décidé de faire un film long métrage à partir de ces heures de rush, il présente au ciné 104 à Pantin quelques unes des images, pour qu'on en cause. Après.
C'est lundi soir (demain).
C'est donc au ciné 104 à Pantin, qui n'a rien à voir avec le 104 à Paris qui se trouve à vol d'oiseau à 2 kilomètres du ciné 104 que je me rends compte que je vous embrouille plutôt qu'autre chose avec mes conneries.
Allez, avant l'annonce, signalons que nous reparlerons du ciné 104 jeudi, entre autres évènements, j'aime bien faire du teasing en ce moment. Bon ça y est maintenant, on arrête les conneries et on annonce :
Lundi 14 Juin à 20h00, Ciné 104
HPG / Raphaël Siboni
Cette séance présente un ensemble de séquences sélectionnées par Raphaël Siboni à partir des milliers d'heures de making of tournées par HPG. Ces éléments constituent le matériau brut du projet de long métrage sur lequel il travaille. La projection sera suivie d'une discussion avec HPG.
HPG
Consacré par la Cinémathèque française et la Quinzaine des Réalisateurs, adulé ou honni par la critique, Hervé-Pierre Gustave, authentique hérétique du cinéma français bien calé hors des rails, livre avec extra-lucidité une œuvre radicale que l'on pourrait qualifier de
journal intime permanent.
Raphaël Siboni
Artiste plasticien exposé à plusieurs reprises au Palais de Tokyo dans le cadre du travail collaboratif qu'il mène avec Fabien Giraud, Raphaël Siboni s'intéresse ici à la fonction extatique du cinéma, et à la quête contemporaine de haute résolution qui la caractérise.
Cinq plans-séquences issus des rushes des films X de HPG, proposés par Raphaël Siboni dans le cadre de l'ébauche d'un film. Suivi d'un débat « à chaud » avec l'auteur et HPG.
Sinon, mon voyage à Dijon s'est bien passé, merci de s'être posé la question
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